Exilées au Liban, des femmes syriennes se retrouvent dans un atelier de cuisine lancé par un restaurant libanais avec le financement du Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR) et la coopération de la branche libanaise de Caritas. En faisant revivre les traditions culinaires de leurs régions, l’atelier leur assure un revenu et les incite à créer par la suite leur propre service de restauration. A elles, la «kofta assyrienne», viande aplatie, mélangée à du riz, du persil et de la sauce tomate et le «kotal de Mossoul», du blé concassé avec de la viande cuite.
B.P.