Majors de promotion des deux dernières vagues sorties de l’Ecole hôtelière de Genève, elles ont tout pour elles. Jeunes, radieuses et déterminées, elles sont animées de la passion du métier. De quoi motiver et rassurer les générations futures: vivre son rêve, c’est possible!
A force de détermination et de travail, en alliant tact, joie de vivre et une tenue toute caractéristique des vrais professionnels, ces deux jeunes femmes sont tombées amoureuses de leur profession, et ce, dès leur plus jeune âge. Nous les avons rencontrées lors de la remise des diplômes de la volée d’octobre 2015 qui a eu lieu en avril au Palais des Nations. Elles nous ont confié leurs motivations, leurs visions d’avenir et les prochaines étapes de leur carrière une fois hors des murs de leur école.
Nathilde Ouenniche-Dubouloz, majore de promotion automne-hiver 2015, a suivi les pas de sa maman qui était fleuriste dans un palace genevois. L’atmosphère qui régnait alors au sein des établissements hôteliers de luxe lui a donné envie et l’a inspirée. Ainsi, ce n’est pas trop s’avancer de dire qu’elle choisit cette profession d’une manière quasi innée. L’EHG faisait écho à ses racines familiales genevoises et elle y apprécia également tout l’aspect pratique que propose le cursus. «C’est une expérience grandiose, nous sommes parfois poussés dans nos retranchements, un enrichissement pour l’avenir» explique-t-elle. Décorée de plusieurs prix d’excellence à la remise des diplômes du 15 avril dernier, la jeune professionnelle a déjà décroché un poste fixe dans une grande société d’événementiel à Genève, ce qui lui permet de découvrir un autre environnement tout en touchant à l’hôtellerie tous les jours, un stage transformé en premier job fixe.
Originaire du Sud de la France, Alizée Rigal est une jeune femme solaire et positive. Nous l’avons rencontrée, alors qu’elle s’apprêtait à procéder à l’ouverture officielle de la remise des diplômes en qualité de 125e major de promotion de la session précédente. Dès son enfance, Alizée se passionnait pour le service à la personne, et ce métier -qui comporte aussi un versant gestion- l’a attirée par sa diversité. «J’ai effectué un cursus de gestion en amont, mais il y manquait toute la pratique pour comprendre réellement la dureté du métier», nous confiait-elle. Diplômée depuis six mois maintenant, la brillante toulousaine s’est vu proposer divers postes de travail à travers le monde. «J’ai préféré revenir au sud de la France, sa convivialité me manquait». Elle intègre aujourd’hui l’entreprise familiale dans le secteur du bâtiment, et y crée son poste de travail en développant un concept de salles de réunion et événementiel».
Un vif merci à la Direction de l’EHG pour son accueil et sa générosité!
S.M.