Au Lausanne Palace & Spa, qui vient d’achever la rénovation d’une dizaine de chambres et suites au 2e étage, un nouveau directeur a pris ses fonctions début novembre: Ivan Rivier, diplômé de l’Ecole hôtelière de Lausanne, où il fut ensuite, une dizaine d’années durant, directeur des opérations, avant d’assurer, pendant 15 ans, la direction du Beau-Rivage à Genève.
Sa venue à Lausanne marque sa volonté de relever un nouveau défi professionnel, au sein du célèbre établissement de la capitale vaudoise, propriété de la Fondation de famille Sandoz, et à la tête duquel il succède à Jean-Jacques Gauer. Enfant du pays, né à Lausanne et brillant élève de l’Ecole hôtelière de Lausanne, Ivan Rivier a pris ses fonctions non sans émotion: l’aboutissement de 25 ans d’une carrière exemplaire de bon sens et de pragmatisme, toute d’intelligence émotionnelle et d’efficacité relationnelle.
Un parcours exemplaire
Fort d’un parcours complet dans les métiers de l’hôtellerie, Ivan Rivier connaît mieux que personne tous les rouages d’un Palace et les clés qui en font un succès. Ivan Rivier salue l’action de son prédécesseur, qui a fait du palace un lieu incontournable aux yeux des Lausannois, et affiche pour objectif d’amplifier et magnifier son travail, en s’appuyant sur les équipes qui en sont l’âme. Soucieux de se familiariser avec la maison et les collaborateurs, mais aussi de leur laisser le temps de faire sa connaissance, Ivan Rivier ne se projette d’emblée dans l’avenir et prend son temps pour que chaque personnalité puisse prendre ses marques.
Au Beau-Rivage, Ivan Rivier a toujours travaillé en étroite collaboration avec la famille Mayer, mais à la tête d’un établissement indépendant. Dans ses nouvelles fonctions, il se retrouve en contact avec les directeurs des autres hôtels du pôle hôtelier Sandoz, placé sous la direction de François Dussart, qui fédère toutes les unités, chacune d’elles conservant son caractère propre. C’est donc une manière de respecter l’esprit et les collaborateurs de chaque établissement, tout en développant un bel esprit patrimonial.
JC Genoud-Prachex